Notre projet, nos ambitions

Aujourd’hui la mort reste un déni trop important dans notre société. De ce fait, cette question est reléguée et réservée aux professionnels du funéraire. Pourtant, elle nous touche tous, parce que nous allons tous mourir un jour et parce que nous vivrons tous des deuils de notre vivant. Aussi, s’intéresser à la question de la mort, c’est s’occuper de cette question de son vivant, c’est accompagner ceux qui vivent leurs derniers jours et ceux qui restent.

• Comment libérer la parole sur le sujet ? Quels sont les besoins des territoires ? Comment accompagner ce processus de transformation sociale ?

Face à ces questions, l’idée de créer une fabrique territoriale des derniers jours heureux a émergé. Cette fabrique vise l’ouverture d’espaces de paroles et de débats sur le sujet. C’est aussi offrir des espaces collectifs de recherche et d’innovation, afin de cerner les besoins du territoire, se former, expérimenter et ainsi innover socialement. Elle s’adresse aux citoyens, seniors, jeunes, mais aussi aux professionnels,aux élus, et collectivités. La fabrique propose de travailler le sujet de la mort avec un approche globale où la mort est considérée dans sa globalité : avant, pendant et après un décès. L’ambition de demain est de vivre sur un territoire où chacun et chacune peut faire 100 % de choix éclairés en ce qui concerne sa fin de vie.